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Lecollectif Soutien migrants Nantes et l’Autre cantine ont rĂ©agi aux propos de la prĂ©fecture recueillis par Presse OcĂ©an ce lundi 17 juin. Ils se dĂ©fendent d’appeler les migrants Ă  Lesort d'environ 250 migrants, installĂ©s depuis quatre mois Ă  Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions prĂ©caires dĂ©noncĂ©es par des associations, est menacĂ© par une demande d Uncampement de plusieurs centaines de migrants, installĂ© depuis plus d'un mois dans un square du centre-ville de Nantes, Ă©tait en cours Pourmieux rĂ©pondre Ă  ces demandes, le "collectif de soutien aux migrants Nantes" et les associations organisent une rencontre pour prĂ©senter Ă  toutes ces personnes leurs activitĂ©s. Chaque association prĂ©sentera ses activitĂ©s dans le domaine des droits, de l’apprentissage du français, de la santĂ©, de l’accompagnement individuel, de l’accĂšs au logement etc. Infos sur FB PrĂšsde 500 personnes ont manifestĂ© ce samedi aprĂšs-midi en soutien aux migrants qui vivent sous les tentes, square Daviais Ă  Nantes. Rencontre De Ligue 1 Ce Soir. SoirĂ©e de soutien aux jeunes migrants Ă  Nantes Lundi 13 mai 2019 - Ă  partir de 19h - StĂ©rĂ©olux Lundi 13 mai 2019 - Ă  partir de 19hStĂ©rĂ©olux - Nantes Les jeunes migrantes isolĂ©es, sĂ©parĂ©es de tout soutien familial, constituent une population particuliĂšrement exposĂ©e Ă  la prĂ©caritĂ©. Suite Ă  une premiĂšre Ă©dition rĂ©ussie en 2017, le collectif PhilomĂ©los se propose de rĂ©unir Ă  nouveau des fonds pour soutenir ce public, lors d’une soirĂ©e Ă  StĂ©rĂ©olux, le lundi 13 mai Ă  partir de 19h. Les bĂ©nĂ©fices de cet Ă©vĂ©nement seront intĂ©gralement reversĂ©s Ă  des associations Ɠuvrant localement Ă  fournir accueil, hĂ©bergement, scolarisation, accĂšs aux soins mĂ©dicaux ou aide juridique aux jeunes migrants isolĂ©s. L'Ă©lan de solidaritĂ© se double d'un dĂ©sir de cordialitĂ© et de plaisir partagĂ© qui conduit Ă  une programmation sans frontiĂšre de genre et volontiers inĂ©dite. De nombreux artistes ont souhaitĂ© s’impliquer en participant Ă  cet Ă©vĂ©nement Le Spectre d'Ottokar Fanfare des Balkans Guillaume Hazebrouck, Louis Sclavis, Julien Stella Jazz Vitor Garbelotto, HĂ©lĂ©na Noguerra, Geoffroy Tamisier, Gabor Turi Bossa-nova Ulysse Aragau, Lucie Berthomier, Ambra Senatore Musique classique et danse improvisĂ©e Philippe Katerine & François Ripoche Improvisation Malted Milk Soul Album photoPrĂ©sentation du projet Programmation 2019 Les partenaires de la soirĂ©e AprĂšs leur Ă©vacuation du square Daviais, dans le centre-ville de Nantes, lundi, prĂšs de 300 migrants ont trouvĂ© refuge dans un ancien lycĂ©e. La prĂ©fecture a reconnu qu'elle n’avait pas de solution d’hĂ©bergement pour eux. Ils Ă©taient 450 et avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s lundi d'un campement installĂ© dans un square du centre de Nantes. Le lendemain, environ 300 d’entre eux, essentiellement originaires du Soudan et d'ÉrythrĂ©e, sans solution d'hĂ©bergement, ont passĂ© la nuit dans un ancien lycĂ©e appartenant Ă  la ville. Ce dernier avait Ă©tĂ© rĂ©quisitionnĂ© par des collectifs leur venant en prĂ©fecture de Loire-Atlantique a annoncĂ© avoir mis Ă  l'abri lundi soir 147 personnes, "les plus vulnĂ©rables", dont 122 sont des demandeurs d'asile. Parmi elles, 87 personnes ont Ă©tĂ© conduites vers un lieu d'hĂ©bergement d'urgence dans la rĂ©gion Pays de la Loire et 60 ont Ă©tĂ© orientĂ©es vers des places d'hĂ©bergement mises Ă  disposition par la ville de Nantes sous la forme de baux prĂ©caires, dĂ©taille la prĂ©fecture dans un communiquĂ©. Au total, prĂšs de 300 personnes se retrouvaient donc sans solutions. "Un accompagnement a Ă©tĂ© proposĂ© Ă  chacune des personnes pour lesquelles aucune solution d'hĂ©bergement n'a pu ĂȘtre trouvĂ©e dans l'immĂ©diat", confesse la collectifs et des associations venant en aide aux migrants ont indiquĂ© avoir rĂ©quisitionnĂ© cet ancien lycĂ©e, propriĂ©tĂ© de la ville et situĂ© Ă  l'ouest de Nantes, pour "installer ceux auxquels l'État n'avait proposĂ© aucune solution d'hĂ©bergement". La mairie a confirmĂ© cette occupation Ă  l'AFP."Sans tente et sans matelas, il Ă©tait hors de question que ces migrants dorment une nuit dehors", a expliquĂ© François Prochasson, membre d'un collectif de soutien aux migrants. L'ancien lycĂ©e dispose "d'un gymnase et de quelques salles", mais il s'agit "d'une mise Ă  l'abri trĂšs temporaire" de migrants "complĂštement dĂ©semparĂ©s", a-t-il ajoutĂ©. Les ONG craignent une nouvelle expulsion "dans les 48 heures". Le collectif de soutien aux mineurs Ă©trangers isolĂ©s offre de l’aide aux mineurs Ă©trangers isolĂ©s, non pris en charge par la protection de l’enfance. Ces jeunes, souvent orphelins, ont fui des situations insupportables dans leur pays d’origine. La protection des mineurs rĂ©sidant sur le sol français est un droit constitutionnel. NĂ©anmoins le Conseil DĂ©partemental du Vaucluse, depuis des mois, s’acharne Ă  faire ïŹ des rĂšgles de base de la protection de l’enfance. Par souci de maĂźtrise budgĂ©taire, des tests osseux pour dĂ©terminer l’ñge de ces jeunes sont pratiquĂ©s systĂ©matiquement et uniquement, alors qu’une Ă©valuation sociale en plusieurs points devrait ĂȘtre rĂ©alisĂ©e arrĂȘtĂ© du 17/11/2016. Ces tests sont critiquĂ©s sur le plan scientiïŹque marge d’erreur de 2 ans et Ă©thique. Le jeune, Ă©valuĂ© majeur, malgrĂ© les preuves de sa minoritĂ©, est alors mis dehors de la protection de l’enfance. Il est donc abandonnĂ© Ă  lui-mĂȘme et laissĂ© dans la rue. Les bĂ©nĂ©voles du collectif les accueillent et se chargent de faire valoir leurs droits trouver un hĂ©bergement, assurer les besoins alimentaires, scolarisation, dĂ©marches juridiques
. J’adhĂ©re ! la prĂ©fĂšte est hors la loi Les droits fondamentaux boire, manger, se protĂ©ger du chaud et du froid, se laver
 ne sont pas respectĂ©s dans notre ville. 400 migrants survivent dans un campement indigne au centre de Nantes 1974 personnes vivent en bidonville 4200 personnes sans domicile ont fait une demande d’hĂ©bergement d’urgence en Loire-Atlantique en 2016, le 115 ne dispose que de 25 places par jour !les rĂ©ponses de la mairie MalgrĂ© les dĂ©clarations de Johanna Rolland quand on dit libertĂ©, Ă©galitĂ©, fraternitĂ©, c’est bien ; quand on le traduit dans les actes c’est mieux », les rĂ©ponses de la mairie ne sont pas Ă  la hauteur des besoins que rĂ©clame depuis des annĂ©es la crise humanitaire qui se dĂ©roule aujourd’hui sous nos yeux. un Ă©lan de solidaritĂ© Un Ă©lan de solidaritĂ© Ă  l’égard de ces populations en dĂ©tresse s’est construit Ă  Nantes. Il regroupe des associations, des syndicats et de nombreux citoyens et citoyennes qui refusent d’accepter cette situation particuliĂšrement inhumaine, entretenue par les pouvoirs publics. l’humanitĂ© de demain se construit avec l’accueil d’aujourd’hui toutes et tous Ă  la manifestation le 22 septembre Ă  15H, Square Daviais, pour dĂ©noncer l’insupportable et exiger de vĂ©ritables solutions, dignes et pĂ©rennes A l’appel des associations et organisations Afrique Loire, ASSAMLA, L’autre cantine, CIMADE, CSF, CSPN, Collectif de soutien aux migrants 44, DAL, EmmaĂŒs, Intersyndicale CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, LDH, Logis Saint-Jean, MĂ©decins du Monde, RESF, UJM44
 liste en cours Une cinquantaine de migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s ce matin d’un presbytĂšre, squattĂ© depuis aoĂ»t 2014 Ă  l’est de Nantes et propriĂ©tĂ© de la municipalitĂ©, a rĂ©vĂ©lĂ© la prĂ©fecture de Loire-Atlantique. L’opĂ©ration d’évacuation par les forces de l’ordre [
] s’est faite en application d’une dĂ©cision judiciaire prononçant l’expulsion des occupants illĂ©gaux, “des personnes isolĂ©es avec des statuts diffĂ©rents demandeurs d’asile, rĂ©fugiĂ©s, ou dĂ©boutĂ©s du droit d’asile“, a prĂ©cisĂ© la prĂ©fecture dans un communiquĂ©. Le presbytĂšre Saint-MĂ©dard de Doulon, propriĂ©tĂ© de la ville et louĂ© Ă  l’évĂȘchĂ© de Nantes, avait Ă©tĂ© “rĂ©quisitionnĂ©â€ en aoĂ»t 2014 par des migrants et leurs soutiens, aprĂšs leur expulsion d’un prĂ©cĂ©dent squat, appartenant Ă©galement Ă  la municipalitĂ©. Il Ă©tait occupĂ© depuis par plusieurs dizaines de personnes, essentiellement des hommes venus d’Afrique de l’Est, dont des mineurs, selon Jean Brunacci, membre du collectif de soutien aux migrants habitants du presbytĂšre de Doulon. [
] Des entretiens ont Ă©tĂ© proposĂ©s aux personnes expulsĂ©es pour permettre, en fonction de leur situation, “d’orienter la plupart vers des solutions d’hĂ©bergement ou de mise Ă  l’abri“, a ajoutĂ© la prĂ©fecture. Le Figaro Merci Ă  Stormisbrewing

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